Auteure : Alice Broadway
Editeur : Scholastic
Langue : Anglais
Genre : Fantasy
Il n’y a pas de secret à Saintstone…
Imaginez un monde où toutes vos actions, tous vos actes sont marqué sur votre peau, aux yeux de tous. Et Léora a quelque chose à cacher.
« La vérité vous collera à la peau »
Le livre en lui-même fut une surprise. Je ne sais pas vraiment ce que j’attendais, mais ce n’était pas ça. Du coup, pas la peine de vous dire à quel point je veux le deuxième tome juste pour en savoir plus sur les personnages et leurs histoires. |
“I was older than all of my friends when I got my first tattoo. »
Dès le départ, l’histoire de Léora est étrange et intriguante. J’ai beaucoup aimé l’idée que la mort ne soit pas quelque chose d’effrayant parce que l’histoire des morts seront célébrés par tout le monde, donc ils ne sont jamais vraiment « mort ». Cela rappelle la société égyptienne qui pensait qu’à partir du moment où une personne se souvenait de toi, tu ne pouvais pas vraiment mourir. C’est la même chose, sauf que dans le livre les familles peuvent garder un livre dans lequel sont recopiées les « tatouages » de ceux qu’ils ont perdus. Ce qui m’a intéressée, c’est aussi les différents métiers dans cette société. On a les LECTEURS comme Leora, qui peuvent voir au-delà des marques, voir les souvenirs qui vont avec. On a les TATOUEURS qui font les marques et les ECORCHEURS qui sont chargés de retirer les marques de ceux qui ont fautés (je crois). Ma mémoire n’est pas parfaite. On a l’idée qu’une telle société puisse totalement exister quelque part et cela serait intéressant à étudier, contrairement aux mondes Fantasy où on sait dès le départ que tout est basé sur la magie qui n’est pas présente chez nous. |
“A crow. A crow. The mark is a crow.”“A crow. A crow. The mark is a crow.”
En conclusion, je dirais que ce roman est un mix entre « Divergent » et « Blanche-Neige » (surtout pour l’histoire dans l’histoire des deux soeurs, avec la Belle adoré par son père et l’Autre qui n’est pas assez jolie et qui finit par en devenir méchante). La fin était un peu confuse, mais j’ai adoré l’histoire en général. C’est touchant et cela nous apprend que l’on doit accepter qui nous sommes parce qu’il n’y a pas d’échappatoire possible. |